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En cohérence avec son projet scientifique centré sur la durabilité des activités agricoles et forestières, Dynafor cherche à mener ses activités de façon durable.

La volonté de Dynafor de générer et de diffuser des connaissances, de répondre à des sollicitations, etc. génère une empreinte environnementale non négligeable. De surcroît, le système actuel d’évaluation de la recherche incite les scientifiques à être plus performant, publier plus d’articles, collecter plus de données, assister à plus de conférences, développer plus de collaborations internationales, activités qui peuvent avoir un impact environnemental considérable. La tension entre le souhait de durabilité de Dynafor et son souhait d’impact, ainsi que les attendus du système d’évaluation de la recherche, s’avère de plus en plus difficile à gérer.

Dynafor a tout d’abord évalué l’empreinte environnementale des différentes activités de l’unité et des actions déjà menées pour limiter cette empreinte: la mobilité (télétravailler, privilégier les visioconférences, prendre le train entre Toulouse et Paris, limiter les trajets en avion, covoiturer dès que possible, venir au travail en vélo), l’informatique (augmenter la durée de vie des appareils, limiter la quantité de données stockées, nettoyer sa boite mail, utiliser des documents partagés et non des pièces jointes), la collecte de données (évaluer les coûts et bénéfices de l’acquisition de nouvelles données, utiliser des méthodes non invasives ne nécessitant pas de prélever des individus ou de fortement perturber leur milieu) et le cadre de travail (développer le tri, faciliter l’approvisionnement local, bio, sans plastique, utiliser des matériaux non polluants).

Les pistes d’amélioration individuelles, collectives et institutionnelles ont été discutées lors d’un Retours du Jeudi. Ce bilan montre qu’un grand nombre de pistes d’action dépendent des niveaux d’organisation supérieurs à l’unité (centre INRA, instituts, instances d’évaluation de la recherche). C’est pour cette raison que plusieurs agents de Dynafor ont participent à la Commission Développement Durable du Centre INRA Toulouse, l’atelier d’écologie politique de Toulouse et l’initiative labos 1.5. Ces collectifs ont pour objectif de partager leurs connaissances et expériences mais aussi de s’organiser afin de pouvoir transformer en profondeur le mode de fonctionnement de la recherche.

Dynafor souhaite ainsi contribuer plus activement à faire émerger des pratiques de recherche plus durables.

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In line with its scientific project focused on the sustainability of agricultural and forestry activities, Dynafor seeks to conduct its activities in a sustainable manner. 

Dynafor's willingness to generate and disseminate knowledge, respond to requests, etc. generates a significant environmental footprint. In addition, the current system of research evaluation encourages scientists to be more efficient, publish more articles, collect more data, attend more conferences, develop more international collaborations, activities that can have a significant environmental impact. The tension between Dynafor's desire for sustainability and its desire for impact, as well as the expectations of the research evaluation system, is proving increasingly difficult to manage. 

Dynafor first assessed the environmental footprint of the unit's various activities and the actions already taken to limit this footprint: mobility (teleworking, favouring videoconferencing, taking the train between Toulouse and Paris, limiting air travel, carpooling as soon as possible, coming to work by bike), IT (increasing the life span of devices, limiting the amount of data stored, cleaning your mailbox, using shared documents and not attachments), data collection (assessing the costs and benefits of acquiring new data, using non-invasive methods that do not require taking samples from individuals or significantly disturbing their environment) and the work environment (developing sorting, facilitating local, organic, plastic-free supply, using non-polluting materials). 

The individual, collective and institutional areas for improvement were discussed during a Thursday feedback session. This assessment shows that a large number of courses of action depend on the organizational levels above the unit (INRA centre, institutes, research evaluation bodies). It is for this reason that several Dynafor agents have participated in the Sustainable Development Commission of the INRA Toulouse Centre, the Toulouse Political Ecology Workshop and the Labos 1.5 initiative. The objective of these groups is to share their knowledge and experience but also to organize themselves in order to be able to profoundly transform the way research works. 

In this way, Dynafor wishes to contribute more actively to the emergence of more sustainable research practices

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